Quand la littérature cartographie une société en métamorphose
En el marco de la Semana de la América Latina y del Caribe y en tanto que Consejeros de la Fondation Maison des Sciences de l’Homme (FMSH), promovimos, a finales de mayo pasado, dos encuentros con el escritor colombiano Héctor Abad Faciolince. Uno con sus lectores en la sede de la prestigiosa casa de edición Gallimard; otro en una mesa redonda en la que sometimos a este autor a una serie de preguntas sobre su último opus, “La Oculta” (y su doble francés “La secrète”). Dos asedios, de los cuales el autor se libera revelándonos algunas claves preciosas de esta novela, así como sus fuentes autobiográficas («famille, je vous aime»), genealógicas (la cuestión cuestionable de las alcurnias y los linajes bajo la prueba movediza del genoma), de généro (origen y persistencia del machismo y su vínculo con la propiedad terrígena), históricas y sociales (Colombia, Antioquia, inmersas en el turbillón de sus luchas recientes y de sus anacronismos insuperables). El video aquí disponible recoge de manera casi integral estos dos encuentros.
Comment être un agent d’historicité dans un monde hétérogène et globalisé ?
La sociologie clinique s’est affirmée comme une méthodologie pour individus en quête d’équilibre face aux souffrances que provoquent les conflits provoqués par les appartenances à des filiations diverses. L’hypothèse qui est au cœur de cette méthodologie est proposée ainsi : « L’individu est le produit d’une histoire dont il cherche à devenir le sujet ». Qu’en est-il aujourd’hui, en France et dans le monde, notamment en Amérique Latine, de cette démarche pluridisciplinaire, voire inter et transdisciplinaire ? A la veille de son départ pour l’Argentine et le Chili, où il présentera la traduction et la publication en espagnol de son livre Névrose de classe (Buenos Aires, 2013), nous avons rencontré à Paris l’un des fondateurs de la sociologie clinique, Vincent de Gaulejac, membre fondateur de l’Institut International de Sociologie Clinique.
